La restriction cognitive

D'après www.avitam.com

La restriction Cognitive : tendance à penser que l'on peut contrôler son alimentation pour contrôler son poids.

Cela entraîne des frustrations, des pertes de contrôle, et une surconsommation alimentaire.

Les périodes de désinhibition (ou « lâcher-prise) : C'est le fait de prendre des grandes quantités d'aliments "interdits" après s'être privé pendant une grande période.

Au lieu de manger à sa faim des aliments que l'on appelle "interdits" , on mange "d'un coup" beaucoup de cet aliment, et ceci au-delà de la satiété.

Le problème ne vient pas de la qualité de l'aliment interdit, mais plutôt de la quantité.

Le problème ne vient pas du jour où l'on craque, mais de savoir "pourquoi" on craque.

 

Conseil : Ne vous interdisez pas d'aliments, cela n'entraine que frustration et SURconsommation.

Le test du chocolat

Ce test permet de comprendre pourquoi il ne sert à rien de s'interdire

Test du chocolat

Recommandations de la Haute Autorité de Santé

 

La restriction cognitive est définie comme une intention de contrôler consciemment et rationnellement le comportement alimentaire dans le but de maigrir ou de ne pas grossir.

Elle influence la séméiologie du comportement alimentaire.

En survalorisant les informations cognitives au détriment de la reconnaissance de l’état interne, le comportement de restriction tend à court-circuiter les signaux physiologiques de la faim et de la satiété.

Au final, la restriction risque de provoquer le résultat inverse de celui qui était recherché.

À long terme, une forte restriction alimentaire serait à l’origine de fluctuations pondérales importantes, à cause de l’alternance de périodes de régime strict interrompues par des phases de perte de contrôle et d’hyperphagie.

 

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